lundi 5 août 2019

À travers les registres du Loiret (45) France

Voici un extrait d'un article contenant 25 pages qui sera publié à la fin de l'année dans le bulletin LE LÉGER 2019 en CDRom. LE LÉGER sera disponible sur CDRom en décembre 2019 pour 20,00$.

Bonne lecture à tous !


Adon (45001)



Pierre Léger, épouse Aimée Girard, veuve de … Tezier, le 7 août 1629 à Autry-le-Chatel (45016) France. (FF8328)

Vrain Renard, fils de Laurent Renard et de Marie Guidon, épouse Perette Léger, veuve de Philibert Loquetteau, le 17 octobre 1667 à Autry-le-Chatel (45016) France. (FF8329)

François Gerin, fils d’Etienne Gerin et de Jeanne Saindon, épouse Marie Léger, fille de Pierre Léger et de Françoise …, le 7 juillet 1772 à Autry-le-Chatel (45016) France. (FF8330)

Autry-le-Chatel (45016)



Estienne Leger, fils d’Estienne Leger et de Françoise Nicolas, né ou baptisé le 27 mai 1625 à Autry-le-Chatel (45016) France; son parrain est Estienne le jeune Deschartes et sa marraine Andrée Fornier; Pierre Maisonnier, curé. (FF8331)

Estiennette Leger, fille d’Estienne Leger et de Magdelaine Melois, née ou baptisée le 1er janvier 1650 à Autry-le-Chatel (45016) France; son parrain est Estienne Gohier et sa marraine Jehanne Guiltat. (FF8332)

Famille Jean Léger et Perette Bourgeois (FF8333)

-     Martine Léger, baptisée le 19 décembre 1660 Acte à Autry-le-Chatel (45016) France; son parrain est François Daulne et sa marraine Martine Brosse.



-      Pierre Léger, baptisé le 10 juillet 1665 Acte à Autry-le-Chatel (45016) France; son parrain est Pierre Detesche et sa marraine Marie Ranier.


-       Marie Léger, baptisée le 22 avril 1668 Acte à Autry-le-Chatel (45016) France; son parrain est François Collas et sa marraine Marie Evesard.



Les registres de France



 










dimanche 4 août 2019

Catherine Voyer-Léger remporte le Prix Jacques-Poirier


YVES BERGERAS
Le Droit

Le prix littéraire Jacques-Poirier–Outaouais 2019 a été décerné à Catherine Voyer-Léger, a révélé vendredi l’équipe du Salon du livre de l’Outaouais (SLO). L’auteure, chroniqueuse, blogueuse et enseignante à l’Université d’Ottawa a reçu cette distinction pour son livre Prendre corps.

«Avec ce texte charnel et sensible, Catherine Voyer-Léger réactualise les liens qui unissent langage, poésie et corps féminin. Penser le corps et les mots pour mieux panser la chair, tel est l’enjeu du projet», a déterminé le jury.
«Prendre corps», publié aux Éditions La Peuplade, est le quatrième ouvrage de Catherine Voyer-Léger, après «Détails et dédales» (2013), «Métier critique» (2014) et « Désordre et désirs» (2016).
L’auteure recevra une bourse de 2 000 $ qui lui sera remise au SLO samedi 2 mars à 18 h 30.
Le prix littéraire Jacques-Poirier–Outaouais, qui doit son nom au fondateur du SLO, récompense, chaque année depuis 25 ans, un(e) auteur(e) de l’Outaouais.

Référence : Le Droit, 15 février 2019

Par Isabelle Beaulieu, publié le 15/02/2019
Le prix littéraire Jacques-Poirier consacre chaque année un auteur originaire ou résident de l’Outaouais pour la qualité d’un de ses ouvrages. Cette fois-ci, l’honneur est rendu à Catherine Voyer-Léger pour son livre Prendre corps paru en mars 2018 aux éditions La Peuplade. Le jury, composé de Camille Deslauriers, Jacques Vézina et présidé par Benoît Laflamme, a exprimé qu’« avec ce texte charnel et sensible, Catherine Voyer-Léger réactualise les liens qui unissent langage, poésie et corps féminin. Penser le corps et les mots pour mieux panser la chair, tel est l’enjeu du projet ». Publié dans la collection « Microrécits », le texte est divisé en fragments, chacun d’eux représentant une partie du corps et décryptant sa complexité.

« ORTEILS Juchée contre mon gré, démarche de canard. Choisir des souliers comme marque de réussite. Biographème du succès. Accomplie en nombre de pouces, lévitant. Avoir mal toute la soirée. Performer la féminité ou une certaine idée. Perdre l’équilibre donc éviter de marcher. Faire la plante en souriant. Espérer que quelqu’un remarquera mes souliers. Sortir de là sans compliment. Sous le bas, une phalange en sang. Perdre la guerre. Craindre d’être ma propre ennemie. »
Catherine Voyer-Léger a aussi publié deux livres de chroniques – Détails et dédales (Hamac, 2013), Désordre et désirs (Hamac, 2016) et un essai – Métier critique (Septentrion, 2014). En mai dernier, on lui attribuait la bourse Jean-Pierre-Guay – Caisse de la culture pour l’achèvement d’un prochain ouvrage qui traitera de la procréation comme métaphore de la création.
L’auteure recevra le prix Jacques-Poirier, ainsi nommé en hommage à celui qui fonda le Salon du livre de l’Outaouais (SLO). Le prix, qui est accompagné d’une bourse de 2000$, lui sera d’ailleurs remis le 2 mars prochain lors de la prochaine édition qui se tiendra au Palais des congrès de Gatineau du 28 février au 3 mars.
L’an dernier, la récompense avait été octroyée à Clara Lagacé pour son recueil de poésie En cale sèche (David).
Référence :
http://revue.leslibraires.ca/actualites/les-prix-litteraires/catherine-voyer-leger-recoit-le-prix-litteraire-jacques-poirier

Prix littéraire Jacques-Poirier Outaouais 2019

Mission

Le prix littéraire Jacques-Poirier–Outaouais a une double visée. Il a d’abord été mis sur pied pour contribuer à garder bien vivante la mémoire de Jacques Poirier, le fondateur du Salon du livre de l’Outaouais, une institution qui, depuis 1979, joue un rôle-phare pour le secteur du livre et la vie littéraire en Outaouais. Ce prix vient également soutenir et renforcer la création littéraire dans le milieu en mettant en valeur chaque année une auteure ou un auteur qui réside dans l’Outaouais (région 07) ou qui en est originaire et dont le livre proposé a su emporter l’adhésion d’un jury par ses qualités exceptionnelles.

La Corporation du prix littéraire Jacques-Poirier–Outaouais remercie les auteur.e.s de leur participation ainsi que les entreprises et organismes qui, par leur appui financier, rendent possible la réalisation du prix : l’Université du Québec en Outaouais, Desjardins, le Salon du livre de l’Outaouais, le Cégep de l’Outaouais et la Ville de Gatineau.

Liste des Lauréats et des Lauréates

2019 – Catherine Voyer-Léger – Prendre corps, La Peuplade
2018 – Clara Lagacé – En cale sèche, Éditions David
2017 – Lisa L’Heureux – Pour l’hiver, Éditions Prise de parole
2016 – Marie-Noëlle Gagnon – Le Grand Galop, Éditions Québec Amérique
2015 – Michel Côté – Le dernier tableau sera rouge, Éditions Triptyque
2014 – Michel J. Gardaz – Histoire d’une réincarnation, Sur la route des derviches, Éditions Rouge
2013 – Annie-Claude Thériault – Quelque chose comme une odeur de printemps, Éditions David
2012 – Dominique Robert – Chambre d’amis, Éditions Les Herbes rouges
2011 – Marjolaine Beauchamp – Aux Plexus, Éditions de l’Écrou
2010 – Mention spéciale à Monsieur Renaud Bouret
2009 – Chantal Ringuet – Le sang des ruines, Coopérative des Écrits des Hautes Terres
2008 – Loïse Lavallée – 13 malentendues, la part manquante des évangiles, Éditions Vents d’Ouest
2007 – Claire Boulé – Calendrier des terres froides, Écrits des Hautes Terres
2006 – Mention spéciale à Nicole Balvay-Haillot
2005 – Jacques Gauthier – Chemins du retour, Écrits des Hautes Terres
2004 – Mention spéciale à Christine Gonthier
2003 – Nicole Dumoulin – Ces artefacts que nous taisons, Écrits des Hautes Terres
2002 – Prix non attribué
2001 – Prix non attribué
2000 – Restructuration du prix
1999 – Restructuration du prix
1998 – Marie-Josée L’Hérault – Tokyo express, Éditions Vents d’Ouest
1997 – Jean-Louis Gaudet – Le Violon du diable, VLB éditeur
1996 – Rachelle Renaud – Le roman d’Éléonore, VLB éditeur
1995 – Françoise Tremblay – L’Office des ténèbres, VLB éditeur
1994 – Dominic Lapointe – Les ruses du poursuivant, VLB éditeur
1993 – Claude Paradis – Le silence de la terre, VLB éditeur
1992 – Michel Dallaire – Terrains vagues, VLB éditeur

Historique

1992 : Création du prix littéraire Jacques-Poirier—Outaouais. Le prix est remis pour un manuscrit. Le concours est ouvert à la francophonie canadienne. Genres littéraires : Roman, nouvelle, conte, récit et poésie

1992-1999 : Le Prix est remis à chaque année, deux fois en poésie et cinq fois en roman. La gestion du Prix est assumée par le Salon du livre de l’Outaouais

1999-2000: Restructuration du Prix, le SLO ayant décidé de ne plus en assurer gratuitement la gestion

2001 : Incorporation du Prix le 26 février 2001. C’est dorénavant un prix ouvert aux auteurs de l’Outaouais ou qui en sont originaires. Il sera remis en alternance dans la catégorie Poésie ou Roman, nouvelle, conte et récit afin de tenir compte de la spécialisation des maisons d’édition participantes.

2001 : Catégorie Poésie : le Prix n’est pas attribué

2002 : Catégorie Roman : le Prix n’est pas attribué

2003 : Catégorie Poésie : le Prix est attribué

2004 : On ajoute la possibilité de décerner une mention spéciale accompagnée d’une bourse de 500 $

2004 : Catégorie Roman : le Prix n’est pas attribué mais on décerne une mention spéciale

2005 : Catégorie Poésie : le Prix est attribué

2006 : Catégorie Roman : le Prix n’est pas attribué mais on décerne une mention spéciale

2007 : Catégorie Poésie : le Prix est attribué

2008 : Catégorie Roman : le Prix est attribué pour la première fois dans cette catégorie depuis la relance en 2001

2009 : Catégorie Poésie : le Prix est attribué

2010 : Catégorie Roman : le Prix n’est pas attribué mais on décerne une mention spéciale

2011: Depuis 2011, le Prix remis sur livre publié

Commanditaires de 1992 à 1999 : Cégep de l’Outaouais, UQAH, Caisse populaire St-Joseph de Hull, Salon du livre de l’Outaouais, les villes de Gatineau, de Hull et d’Aylmer.

Commanditaires depuis 2001 : Cégep de l’Outaouais, UQO, Caisses Desjardins de l’Outaouais, Salon du livre de l’Outaouais, la Ville de Gatineau.

Maisons d’édition

1992-1997 : VLB

1998 : Vents d’Ouest

2001-2008 : en alternance selon le genre, les Écrits des Hautes-Terres ou Vents d’Ouest

2009 : la Coopérative des Écrits des Hautes-Terres

2010 : Vents d’Ouest

Je suis très honorée de me mériter le Prix littéraire Jacques-Poirier - Outaouais pour PRENDRE CORPS.
Ce livre a une si belle vie grâce à toutes celles et tous ceux qui le lisent, le partagent, le font circuler.
Merci au jury et à mon magnifique éditeur, La Peuplade., Catherine Voyer-Léger, Facebook





Junior Girl Scouts Soccer's clinic earns Bronze Award


By Doneen Durling, Reporter
Posted Feb 4, 2019 at 2:00 PM



Bronze Award winning Junior Girl Scouts Maddy Mulhall, left, and Molly Horgan celebrate the evening with ice cream sundaes.

ASHBURNHAM — Two young women from Girl Scout Troop 30246 have earned the Girl Scout Bronze Award by offering a soccer clinic for children ages 4-7 years old. If you asked them about the experience, they would tell you they had so much fun they would do it again.

Molly Horgan and Maddy Mulhall completed a minimum of 20 hours of community service by developing a plan and offering the clinic last July.

In the end, the two girls earned the Girl Scout Bronze Award, the highest award a Junior Girl Scout can earn for their success and were honored for that success in a ceremony on Thursday.

Scout Service Unit Manager Michelle Whipple-Duclos explained that Junior Girl Scouts are eligible for the Bronze Award after looking at something in the community where they live and trying to find a way to make it even better.

Molly Horgan noticed that the soccer field was in need of tender, loving care, and noted that many kids wanted to learn something about soccer.

What Molly Horgan and Maddy Mulhall decided to do was work on establishing a soccer camp with kids age 4-7. They spent 20 hours cleaning out the area and organizing resources and people to help, including their own parents.

The girls ran their clinic for three days. The two girls even had T-shirts made up for those attending the clinic.

Whipple-Duclos said that at first the two scouts were a little overwhelmed with the children who signed up, so the dads started pitching in a little bit.

“But by the end of day three, the girls were telling the dads to go sit on the sidelines and run the timer,” said Whipple-Duclos.

John Mulhall, the father of Maddy Mulhall, said that in the beginning, both dads were trying to talk the two girls into other projects, but the girls were ready for the soccer challenge.

“It was a lot of work. I don’t think that they were prepared for how much work it was and how many times they were going to have to step out of their comfort zone,” he said.

The two girls set up at the annual Downtown Day Festival seeking children who would like to sign up for the soccer clinic. They also sought kids for sign up during Movie Night, and John Mulhall said that was when things began to become real.

“Before we knew it, they had 20 people,” he said.

The camp ran in July at Outlaws Field across from the Wachusett Brewery. The original plan was to open for six sessions with 40 kids, but the idea changed when they began to understand the scope of such a project.

“They put in a lot of hard work, and I think they had fun doing it,” said John Mulhall. “I certainly had a lot of fun helping out.”

Dad Kevin Horgan said that there were about 25 kids the first day of the clinic, which surprised him and the girls, and seemed a bit overwhelming, but by the third day the girls were acting like professionals.

Parents pinned their daughters with the Bronze Award. When the ceremony was finished, the crowd sat down to enjoy eating their own ice cream sundae creations with whipped cream, chocolate syrup, gummy bears and the works.

When asked what the hardest part of the project was, Maddy Mulhall said that getting the 4-year-olds to focus was the hardest part. The best part was playing a big game at the end where those who participated in the clinic could use what they had learned. There was no score kept, but Molly Horgan was pretty sure her team won.

The two would like to continue the clinic, but have decided that maybe they would not include 4-year-olds next time.

“We’ll get like older kids ... third- and fourth-graders,” said Molly Horgan, and Maddy Mulhall agreed.

Members of the Molly and Maddy Soccer Clinic said the clinic was a lot of fun. When asked what they liked the best, Lukas Horgan said the game at the end. The kids agreed that no one kept score, but it was just plain fun.

Whipple-Duclos said she was very proud of the two girls she has helped to grow through scouting since they were small.

“I am very proud of what they have done and how much they have grown these last few years,” she said.

Whipple-Duclos added that the girls in the troop will be moving on to the Silver Award soon which will include projects that will require more community service time.



MOLLY ANN HORGAN

LIGNÉE ANCESTRALE

XII       Molly Ann HORGAN
            née le 22 avril 2007.

XI        Sarah COLLETTE
            mariée à Kevin HORGAN

X         Léo-Paul COLLETTE III
marié à Patricia LORDEN, fille de Timothy J. LORDEN et d’Ida L. LEBLANC, le 29 juin 1975 à Pepperell (Massachusetts, États-Unis).

IX        Loretta E. / Laurette LÉGER
mariée à Léo-Paul COLLETTE JR., fils de Léo-Paul COLLETTE et d’Albina THIBEAULT, le 29 mai 1954 à Fitchburg (Massachusetts, États-Unis).

VIII     Samuel LÉGER
marié à Yvonne DESROSIERS, fille d’Adélard DESROSIERS et de LYDIA BOURQUE, le 28 décembre 1929 en l’église Saint-François-Xavier de Fitchburg (Massachusetts, États-Unis).

VII      Wenceslas LÉGER
marié à Séraphine CARRIÈRE, fille d'Amable CARRIÈRE et d'Archange BEAUCHESNE, le 26 novembre 1900 en l'église St-Bernard de Fournierville, ON.

VI        Dosithée LÉGER
marié à Sophie DUPUIS, fille de Joseph DUPUIS et d'Angèle CAZA, le 27 janvier 1874 en l'église St-Bernard de Fournierville (Ontario).

V         Augustin LÉGER
marié à Victoire SÉGUIN, fille de Louis SÉGUIN et de Marie-Louise MALLET, le 5 octobre 1829 en l'église Ste-Madeleine de Rigaud (Bas-Canada).

IV        Joseph LÉGER
marié à Marguerite Amable BREBANT, fille de Augustin BRABANT et de Eugénie ST-JULIEN, le 24 novembre 1800 en l'église St-Michel de Vaudreuil (Bas-Canada).

III        Thomas LÉGER
marié à Félicité CHOLETTE, fille de Jacques CHOLETTE et de Marie-Antoine LEGAULT, le 8 janvier 1776 en l'église St-Joachim de Pointe-Claire (Canada).

II         Charles LÉGER
marié à Françoise LEDUC, fille de Pierre LEDUC et de Marie-Catherine FORTIN, le 7 janvier 1738 à Ste-Anne-du-Bout-de-l'Ile (Nouvelle-France).

I           Pierre LÉGER dit PARISIEN
marié à Jeanne BOISLARD, fille de Jean BOISLARD et de Jeanne MARANDAS, le 15 mai 1706 en l'église Notre-Dame de Québec (Nouvelle-France).

            Pierre LÉGER dit LE PRIEUR

marié à Marguerite DANDASE de St-Etienne-du-Mont, Paris (Ile-de-France).